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Fédérer des sujets en image fixe. PHOT❤️GRAPHIE

FENÊTRE SUR MULTIVERS

Un mur blanc.
Un silence.
Comme une page non écrite.

Et puis, une fenêtre.
Pas une échappée — une révélation.

Par l’ouverture,
un autre monde :
toits oubliés, ciel léger,
un fragment de réalité parallèle.

Chaque regard est une version.
Chaque cadre, un univers.

Nous vivons en multivers :
parfois mur,
parfois passage,
toujours multiples.
📸 Version courte pour Instagram :

Parfois, la vie ressemble à un mur.
Lisse, silencieux, bloqué.

Mais il suffit d’un cadre, d’une ouverture,
pour voir un autre monde apparaître. 🌍

Toits, ciel, verdure :
une version parallèle du réel.
Une autre vie, possible, là — juste derrière.

Multivers de la vie.
Multivers de soi.
Regarde autrement. ✨
Rue Neuve Sainte Catherine 13007
Publié parNicolas Bermond16 mai 202516 mai 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

CYBER VUE

Marseille : la gare sous l'œil des caméras

À Marseille, la gare Saint-Charles est bien plus qu'un simple carrefour de voyageurs ; elle est devenue, au fil des années, un symbole discret mais puissant de la surveillance de masse. Chaque jour, des milliers de passagers franchissent ses escaliers monumentaux, traversent ses quais, passent sous les voûtes en pierre... sans vraiment prêter attention aux dizaines d'yeux électroniques qui les observent.

Depuis les années 2010, en réponse à la menace terroriste et à la montée des insécurités urbaines, le réseau de caméras de la gare s'est densifié. À cela s'ajoute l'intelligence artificielle, capable d'analyser les flux, de détecter des comportements "anormaux", voire d'anticiper des incidents. Un sac abandonné, un mouvement de foule, un comportement jugé suspect : tout est scruté, enregistré, évalué.

Pour certains, cette surveillance est rassurante : elle protège. Pour d'autres, elle pose des questions profondes sur nos libertés. À Marseille, dans le bruissement des trains et le chant des cigales au loin, la gare Saint-Charles incarne cette tension contemporaine entre sécurité et vie privée.
Gare Saint Charles 13001
Publié parNicolas Bermond8 mai 20258 mai 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

ÎLE BERMOND

Les îles Bermond ne sont pas seulement un point géographique en Méditerranée ; elles incarnent une "île éphémère", une passerelle entre le monde tangible et l'univers numérique. C’est à la croisée de l’innovation et de la tradition que naît une nouvelle approche de l'entrepreneuriat. Marseille, avec sa mosaïque culturelle et son élan contemporain, sert d’écrin à ce laboratoire social et technologique singulier.

Véritable fenêtre ouverte sur des réalités parallèles, l’île Bermond se dévoile comme une oasis virtuelle, offrant aux visiteurs une immersion dans des univers multiples. Au-delà du monde physique, elle propose des espaces d’expérimentation, de prototypage et de création pour les entrepreneurs, artistes et innovateurs.

Tel un tableau vivant, le virtuel introduit une alternance entre réalité et fiction. On y évolue dans un environnement multidimensionnel, en acceptant les "parasites" propres aux nouvelles perceptions, à l’image des défis rencontrés en géométrie spatiale. Le cerveau, déstabilisé, parvient néanmoins à naviguer dans cet univers impossible à cerner pleinement. Ce jeu d’illusions questionne sans cesse : est-on dans une utopie ou dans une future réalité ? Quoi qu'il en soit, l’essentiel est de pouvoir tester, explorer et confronter des idées inédites. Un champ d’imagination où le virtuel devient le laboratoire du réel.

Depuis le socle calcaire de l’île, des faisceaux se diffusent, déployant une multitude de mondes possibles. Ici, tout peut être repensé : organisation, économie, monnaies, gouvernance. L’univers virtuel ouvre un terrain d'expérimentation sans limites. Le mot d’ordre : "Oser, s’autoriser, entreprendre."
île Bermond vue des îles du Frioul 13007

Publié parNicolas Bermond2 mai 20258 mai 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

BOUCHER

Vieux-Port de Marseille –
Sous le soleil cru du matin, un poissonnier marseillais, tablier mouillé noué à la taille, tient fermement un gros couteau dans sa main calleuse.
Devant lui, trônant fièrement sur son étal, un espadon gigantesque, museau effilé vers le ciel comme une lance figée, attire les regards des passants.
Son œil vitreux reflète les reflets bleus du port, tandis que l’air sent fort l’iode et la mer.
Autour, les cris des goélands se mêlent au brouhaha des chalutiers qui rentrent, au rythme de la vie marseillaise – brute, authentique, vivante.
Vieux Port 13002

Publié parNicolas Bermond12 avril 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

FOOTING

Major 13002
Publié parNicolas Bermond31 mars 2025Publié dans13Étiquettes : Marseile

TAG

premier TAG de l'île Bermond
Panier 13002

Publié parNicolas Bermond27 mars 202527 mars 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

AMOUR

Marseille en fête : un tourbillon de couleurs, de musique et d’amour lors du Carnaval de la Plaine, où chaque masque cache un sourire et chaque danse célèbre la liberté. plus d'infos ici https://nicolas-bermond.com/marseille/carnaval-de-la-plaine-au-sommet-de-lart-de-la-liberte
Publié parNicolas Bermond17 mars 202517 mars 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

CHAT GPT ❤️

Effectivement, dans ton article intitulé "Carnaval de la Plaine 2025 : Marseille en feu, Marseille en fête, Marseille No Data avec beaucoup de téléphone ;-)", publié le 16 mars 2025, tu décris le Carnaval de la Plaine comme un "souffle de liberté, une danse joyeuse de la place Jean Jaurès au Cours Julien, un cri d'amour à la ville, à la vie, à l'anarchie, à la liberté". Tu soulignes que l'édition 2025 a rassemblé une foule costumée et colorée, doublant presque la participation de l'année précédente, et que le Caramentran brûlant symbolise l'abandon des fardeaux passés, faisant de la fête un acte de résistance joyeuse et insoumise https://nicolas-bermond.com/marseille/carnaval-de-la-plaine-au-sommet-de-lart-de-la-liberte
Carnaval de la Plaine 13006 13005 13001

Publié parNicolas Bermond17 mars 202517 mars 2025Publié dansBouches-du-RhôneÉtiquettes : Marseile

Date Center

Le 25ᵉ Carnaval indépendant de La Plaine/Noailles/Réformés s'est tenu à Marseille le dimanche 16 mars 2025, sur la place Jean-Jaurès, également connue sous le nom de La Plaine. Cet événement auto-géré, non déclaré en préfecture, a évolué au fil des ans, passant d'une fête de quartier à un rassemblement de grande envergure, attirant des participants au-delà des frontières de Marseille et de la France. Plus de photo sur https://nicolas-bermond.com/marseille/carnaval-de-la-plaine-au-sommet-de-lart-de-la-liberte
Carnaval de la Plaine 13006 13005 13001

Publié parNicolas Bermond17 mars 202517 mars 2025Publié dans13Étiquettes : Marseile

ENFIELD LABOURDETTE

Marseille, Enfield Moto et la Tour Labourdette : Un Voyage entre Mémoire, Mécanique et Architecture

Marseille, la ville-monde et son imaginaire mécanique

Marseille est une ville qui s’étire entre ciel et mer, un espace de contrastes où les cultures, les époques et les influences se télescopent dans un chaos fascinant. On y trouve des ruelles escarpées qui sentent le sel et le bitume, des quartiers industriels en friche, des calanques d’un bleu tranchant et des avenues où vrombissent les moteurs comme des battements de cœur métalliques. Ici, l’amour de la mécanique est une évidence, autant sur les docks du port que dans les garages improvisés où des passionnés bichonnent leurs bécanes.

Dans cet univers de sueur et de cambouis, la Royal Enfield a trouvé un écho particulier. Moto mythique d’origine britannique, elle évoque l’aventure brute, l’authenticité et la résistance au temps. Contrairement aux sportives clinquantes ou aux cruisers massifs, la Enfield incarne un romantisme mécanique presque suranné. En la chevauchant, on embrasse une vision du monde où le voyage prime sur la vitesse, où le trajet compte autant que la destination.

Dans les rues de Marseille, une Enfield se fond parfaitement dans le décor. Son moteur monocylindre, à la cadence presque hypnotique, résonne sur les pavés du Panier ou le long du boulevard Longchamp. Elle grimpe sans effort les côtes de la Corniche Kennedy, offrant à son pilote une vue imprenable sur la Méditerranée, avant de filer vers l’arrière-pays provençal, où la garrigue et les oliveraies deviennent un terrain de jeu idéal pour cette machine au charme rétro.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Car en plein cœur de cette ville, au carrefour des époques et des influences, se dresse un autre témoin du passé et du futur, un symbole d’une modernité singulière : la Tour Labourdette.

La Tour Labourdette : vestige visionnaire

Peu connue du grand public, la Tour Labourdette est pourtant une énigme architecturale fascinante. Construite dans les années 1970 par l’architecte Louis-Jules Labourdette, elle est un manifeste du modernisme brutaliste, avec ses lignes anguleuses et son apparence massive. Marseille, avec son goût pour l’expérimentation urbaine (du Corbusier et sa Cité Radieuse aux tours contemporaines du quartier Euroméditerranée), semblait être un terreau idéal pour accueillir une telle œuvre.

La Tour Labourdette incarne une ambition démesurée, celle d’un urbanisme visionnaire où les structures de béton dialoguent avec l’espace environnant. Longtemps décriée pour son esthétique austère, elle est aujourd’hui regardée avec un œil nouveau. Ce qui pouvait sembler froid et impersonnel apparaît désormais comme un témoignage précieux d’une époque qui croyait en la verticalité comme réponse aux besoins d’habitat et d’organisation urbaine.

S’il existe un point commun entre cette tour et la Enfield, c’est bien leur statut d’objets intemporels. D’un côté, une moto qui n’a jamais cherché à se conformer aux tendances, privilégiant un design et une mécanique simples mais robustes. De l’autre, une tour qui défie les canons traditionnels du beau, mais qui s’impose par sa singularité et son caractère indomptable.

Marseille, Enfield et Labourdette : une esthétique du brut

Ce qui lie ces trois éléments – la ville de Marseille, la moto Royal Enfield et la Tour Labourdette –, c’est une certaine philosophie du brut. Un refus des artifices, une recherche d’authenticité qui s’exprime à travers la matière elle-même : la pierre et le sel pour Marseille, le métal et l’huile pour la Enfield, le béton et l’acier pour la Tour Labourdette.

Rouler en Enfield à Marseille, c’est en quelque sorte réconcilier passé et présent, c’est inscrire son trajet dans une histoire plus vaste, celle d’un port ouvert aux mondes, d’une ville qui se réinvente sans cesse, d’un espace où la mécanique et l’architecture dialoguent avec le paysage.

Et si l’on devait imaginer un itinéraire parfait ? On partirait tôt le matin du quartier du Panier, le moteur de l’Enfield ronronnant doucement. On longerait le Vieux-Port, avant de s’engouffrer dans les ruelles plus secrètes du cours Julien. Une halte devant la Tour Labourdette, pour en observer la silhouette imposante. Puis, on filerait vers la mer, la lumière dorée du sud dans les rétroviseurs, le vent de la Méditerranée dans les cheveux, et ce sentiment inimitable d’être en mouvement, d’être en vie.
22 square Belsunce 13001
Publié parNicolas Bermond4 mars 2025Publié dansBouches-du-RhôneÉtiquettes : Marseile

PRINGELS BOAT

Quai des îles Bermond 13002
Publié parNicolas Bermond20 février 2025Publié dans13Étiquettes : Marseile

CAPUCHON

Quai des îles 13002
Publié parNicolas Bermond7 février 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

BLUESKY

Mucem 13002
Publié parNicolas Bermond19 janvier 2025Publié dans13Étiquettes : marseille

GALAXY LOVE

Quai des îles Bermond 13002
Publié parNicolas Bermond15 janvier 2025Publié dansBouches-du-RhôneÉtiquettes : Marseile

NOËL

Place du Lacydon 13001
Publié parNicolas Bermond10 janvier 2025Publié dans13Étiquettes : Marseile

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Ballade ou Balade à vous de voir

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