Le groupe Porsche, déjà propriétaire majoritaire de VW, a par ailleurs profité de la chute du cours du titre (34%, soit quelque 20 milliards d’euros) pour acheter, à un prix resté confidentiel, des actions en mains du constructeur japonais Suzuki. Le contrôle de Porsche sur le groupe VW passe donc de 50,7% à 52,2%.